22 janvier 2006
Polésies pouet-pouet.
C’est pour se déplacer qu’on me l’a refilée.
Elle est russe et âgée, rouillée mais décorée.
Je suis même repéré lorsque je suis garé.
La route est encombrée ? Nous allons zigzaguer !
.
.
Visiteur indésirable, petit trotteur discret. Tu venais lorsque le pain traînait, tu nettoyais. Ne souhaitant partager la maison qu’à deux, nous t’avons traqué un peu. Un bout de mie, le ressort remonté et en vingt minutes tu as été attrapé. Bruyante et longue, ton agonie nous a terrifiés. Une livre tu devais peser. Pour notre plus grande joie, aucun autre ne s’est presenté.
Quel beau poët il fait, vous ne trouvez pas ?
Publicité
Publicité
Commentaires
J
M